Petit-déjeuner aux graines de chanvre

On peut compléter ce petit-déjeuner végane et protéiné en lui ajoutant les fruits qu’on a sous la main.

Ingrédients

  • Banane (mûre voire trop mure) 1
  • Citron le jus d’une moitié
  • Huile de lin (ou de chanvre ou de cameline) 1 cuillère à soupe
  • Graines de chanvre (décortiquées) 2 cuillères à soupe
  • Fruits frais
    Optionel
    Peu importe la quantité, mais coupés en petits bouts

Préparation : 2 min

J’écrase la banane dans une assiette creuse. Plus elle est mûre, mieux c’est. Il ne faut pas hésiter à recycler ses bananes très noires pour cette recette.

J’ajoute le jus du demi-citron que je presse à travers une passoire au-dessus de l’assiette (pour récupérer les pépins) et l’huile de lin. Je mélange énergiquement ce qui doit donner une pâte crémeuse.

J’ajoute les graines de chanvre, je mélange.

On peut s’arrêter là si on est pressé·e: il y a déjà de quoi partir du bon pied pour sa journée. Mais on peut aussi ajouter des fruits frais coupés en petits dés selon ce qu’on a sous la main, hors agrumes.

Parfois, j’ajoute encore des flocons d’orge ou d’avoine, des fruits secs pilés (amandes, noisettes, cajou...) ou d’autres graines (sésame, chia, tournesol, courge).

A la base, mon inspiration vient du Miam-ô-Fruit de France Guillain, que je réalise de temps en temps scrupuleusement. Elle a vraiment étudié les proportions et associations idéales d’aliments et je vous recommande la lecture de ses livres, extrêmement intéressants pour repenser son alimentation.

Mais le Miam-ô-Fruits demande beaucoup plus de temps de préparation et d’anticipation. Je me suis naturellement rabattue sur cette préparation qui n’en aura pas toutes les propriétés mais qui me convient très bien et m’offre une belle alternative aux sempiternelles tartines. Avec des protéines végétales et sans sucre ajouté -qui convient d’ailleurs à l’alimentation végane.

Charlotte Dorn

Journaliste depuis 1996, prof de journalisme, citoyenne engagée, je partage des recettes et des guides pour faire plus soi-même et acheter moins tout fait. Le but : réduire son empreinte écologique et augmenter son autonomie.